Back to unif (mais pas trop quand même)
Ayé, c'est la reprise des cours... mais on s'en fiche.
Je viens d'apprendre que j'étais sensé faire un travail en informatique pour aujourd'hui midi... c'est pas grave... et je me suis rappellé que demain j'aurais sans doute test en néerlandais et philosophie. Yeah !
Passons plutôt à la séance ciné du jour avec Inside Man (que je voyais pour la deuxième fois).
La première fois, on est un peu paumé, le réalisateur nous balade de pistes en pistes, de fragments d'histoire en fragments d'histoire, il nous tend des perches qu'on saisi parfois trop tard et à la fin tout s'éclaire, le public lançant alors un grand : mais oui ! C'était donc ça !
Mais la première fois on est un peu déçu par le manque de rythme, je m'attendais à plus d'action même si le suspence y est. Le contraste entre le flic qui se creuse les méninges en se rongeant les ongles et le calme absolu des braqueurs de banque est assez déroutant.
La première fois ne suffit pas. La première fois on se pose trop de question. La première fois on apprécie plus le jeu d'acteur formidable que les détails du scénario.
Et bon sang, on a tord !
Car à la deuxième vision c'est un peu la matrice qui se dévoile sous nos yeux dès l'entame. Et c'est là qu'on remarque le génie de ce fichu scénario. C'est là qu'on prend conscience que rien n'est laissé au hasard. C'est là qu'on comprend que la moitié du film nous est passé sous le nez. C'est là qu'on tire enfin tout la moelle juteuse et délicieuse de ce braquage de banque parfait.
C'est là qu'on comprend chaque phrase, chaque intonation. C'est là qu'on absorbe chaque réplique pour la laisser raisonner dans son esprit. C'est là qu'on atteint enfin le nirvanna.
C'est dur de garder sa langue, mais c'est pas mon genre de tout dévoiler. Motus et bouche cousue donc.
Un film à voir et revoir. Excellent, tout simplement.

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