Tremble cinéma, me revoilà
Jamais dégouté et jamais à court de sous pour voir un film, le panda aime de temps à autre tenter un petit truc différent.
Les films d'horreur en général j'évite. J'aime dormir tranquillement, sans avoir besoin de mon nounours à côté de moi pour me rassurer après les émotions fortes d'un film stressant.
Pourtant j'ai pas pu résister à l'appel de Silent Hill. La bande d'annonce m'avait attirer, et les critiques (etiounienne et autres) m'avaient convaincues : il fallait que j'aille voir ce long-métrage.
Mon Dieu, quelle gifle encore une fois.
Silent Hill n'est pas spécialement effrayant genre "vas-y que je sursaute sur mon fauteuil toutes les 2 minutes", mais il est plutôt oppressant, glauque, cru et malsain. Les différentes scènes sont superbes visuellement, et l'hommage au jeu vidéo est bien présent. L'ambiance putride qui se dégage des décors fait froid dans le dos, les horreurs sur 2 pattes nous prennent aux tripes, nous arrache à la réalité pour nous emmener en chair et en os à Silent Hill.
Les rares passages calmes sont l'occasion de se remettre de toute cette débauche de glauquerie (personnellement j'ai vécu tout ses moments comme une délivrance), permettant aux spectateurs de voir son rythme cardique baisser pour ensuite lui asséner un coup fatal avec ce dénouement immonde et barbare.
Un film qui en vaut la peine, encore une fois, et qui nous prouve que le jeu vidéo peut être magistrale au cinéma.
Anecdote pour a route :
Dans le film, on entend une alarme rententire plusieurs fois, et elle annonce le début des ennuis.
Je ne vous dis pas ma tête lorsque peu après être sorti du cinéma j'entends ce même bruit résonner dans la ville...
*Ruuuuuuuuuuuuuun !*

Allez, je vais me coucher. Viens ici ma peluche adorée... t'es pas possédée par le démon hein ? Hein dis... dis moi... ho... teddy ?
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