Examen de philosophie
Philosophia, ou "amour de la sagesse", n'est que le premier terme d'une longue série d'autre mot greco-latin dont notre cher professeur Heinz raffolait.
Oui j'ai bien dit Heinz, comme le ketchup. Pas de bol hein(z) ! On se dit que finalement il y a toujours plus dur à porter que son propre nom ^^
Enfin, moi c'est pas spécialement dur à porter, juste un peu casse-bonbon quand on le confond avec mon prénom...
Mais passons au débriefing de ce fichu test.
2 questions, 4 pages à disposition, des milliers de possibilités.
Tout commença gentillement dans le joli monde philosophique du panda. Les pensés chantaient dans sa tête, les idées étaient claires et bien structurées, elles dansaient, se liaient, se connectaient les unes aux autres, si bien que votre ami blanc et noir voyait déjà sa mission remplie avant même de l'avoir débutée.
Mais soudain, tchic-boum-tchaaa, que se passe-t-il, un épais nuage gris vient recouvrir le ciel enchanté des idées pourtant si bien mémorisées. C'était la terrible feuille d'examen qui se posa sur le banc du panda. *air mélo-dramatique*
Les citations se mélangèrent, s'embrouillèrent, et plus panda essayait de se calmer plus les concepts lui échappaient.
Il se décida dans un effort de ... de ... , dans un terrible effort, à repenser calmement tout ce qui lui passait par la tête histoire d'associer enfin correctement le tout.
La première demi-heure enfin écoulée, panda avait maintenant un plan d'attaque, il savait ce qu'il allait utilisé pour épater le ketchup, et il écrivit. Il écrivit tant qu'il pu, jusqu'à ce que sa main tremblotante lui dicta d'arrêter : "Cesse dont, j'ai mal aux articulations", dis la petite main, "Non ! ", dis panda d'un air autoritaire, "je dois continuer, il le faut, je n'ai encore écrit que mon nom sur la feuille !".
Et ensemble, panda et sa main, main dans la main... enfin, vous m'avez compris, reprirent le travail.
10 minutes passèrent, puis 10 autres, et encore 10 autres. Il fallait se rendre à l'évidence, écrire un brouillon prenait trop de temps. Prenant son courage à 2 mains, panda rempoigna sa troisième main et se remis à écrire. Directement sur la feuille au propre. Malheur !
Les ratures se multiplièrent, sauf que 1 fois 2 ça fait jamais que 2. Oui mais 2 ratures c'est déjà trop !
"Merde !!!" dis panda. "Il y a problème ?", dis le surveillant. "Euh, non..." reponda pandi, non, répondit panda plutôt.
Conclusion de l'histoire, personne n'eut d'enfant et personne ne vécu heureux, mais au moins, pandouille avait fait son devoir, et il avait tout donné.
Le 14/20 est-il atteint ? La suite nous le dira. Mais honnêtement si je devais m'auto-noter, je me mettrais 13...
Comme citation, permettez-moi d'employer cette phrase magnifique de Kant.
"Agis de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse toujours valoir en même temps comme principe d’une législation universelle"
3 commentaires:
répondit panda plutôt... j'comprend pas, que viens faire Plutot avec Pandi-Panda
C'est trop métaphysique, même moi je comprends pas...
J'préfère la seconde maxime moi ^^ "Agis toujours de telle sorte à traiter l'humanité comme une fin et non comme un moyen"
Kant avait pas de trop mauvaises idées, quand même ^^
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