25 février 2007

Le futur est parmis nous

Mince, je veux la même chose !


"Le futur sera meilleur demain"

19 février 2007

Hé ! Mais c'est beau en fait !

Avouons-le, une nouvelle version "Vista" de windows c'est bien cool, mais j'ai pas envie de voir la moitié de mes programmes en attente d'une mise à jour pour fonctionner avec la nouvelle bête de Microsoft.
Alors j'ai juste mis à jour "
graphiquement" et bigre, j'aime !



"Il te restera toujours tes rêves pour réinventer le monde que l'on t'a confisqué"

17 février 2007

Y'a des fêlés partout

Il y a des expériences traumatisantes que je ne souhaite à personne, et celle d'aujourd'hui m'a vraiment foutu les jetons comme rarement.

Résumé de l'histoire :

Nous devions aller acheter quelques trucs à Louvain-la-Neuve avec ma soeur, et on se décide à prendre le bus vers midi. On mange sur place, on achète tout ce dont on a besoin, on retourne à l'arrêt de bus, et c'est là que le show commence.

Un gars, la cinquantaine, le regard bon et manifestement sympathique se poste à côté de ma soeur et moi et nous demande simplement s'il peut faire aller sa mini-radio. On lui répond qu'il n'y a pas de problème, que ça ne nous dérange pas, et on se remet à papoter.
Je ne comprendrais que plus tard pourquoi le gars nous posait cette question, et ce n'était pas que par gentillesse, il voulait vraiment entamer la conversation avec nous.
Arrive un petit blanc dans la conversation avec ma soeur et le gars réattaque. "Excusez moi, je peux vous demander ce que vous faites comme étude ? Si ce n'est pas indiscrêt".
Ne voyant aucune objection à la chose, je lui répond être en communication, et là le mythomane entre en scène.
Il commence à nous baratiner que c'est génial ce que je fais, me demande en quelle année je suis, enchaîne la discussion à une vitesse vertigineuse passant du coq à l'âne n'importe comment, et je suis incapable de vous résumer tout ce qu'il nous dis. En gros on est passé rapidement sur son métier, les langues qu'il connait, le fait qu'il faut voir d'autres cultures, voyager, que manifestement il a du pognon, qu'il fait de la consultation maintenant, qu'avant il était traducteur, on commence à échanger quelques mots en anglais, il me dit qu'il faut que je pratique plus, il me lance que j'ai rougi quand j'ai commencé à parler anglais, pour lui il ne faut pas, au contraire, et que tout ça c'est uniquement parce qu'on a peur de faire des fautes, mais ce n'est pas grave, etc, etc, etc...
J'ai sans doute oublié pas mal de choses dans la bataille mais peu importe.

Arrive enfin notre bus, et évidemment le moulin à parole monte avec nous, s'installe pas trop loin et continue la conversation, un peu tout seul... façon monologue répété des centaines de foix. Il pose quelques questions, nous demande nos prénoms, mais ne nous laisse pas la possibilité de couper court à la conversation.
Je le sens bizarre, nerveux, comme s'il voulait arriver à un certain endroit dans son baratin. Et c'est le cas. Il me parle des activités qu'il fait actuellement, et de son prochain boulot de traduction qui pourrait lui rapporter 1 million d'euros. Mais il va avoir besoin de recruter.
On y est. Il est manifestement intéressé par moi (pourquoi ? parce que je lui ai dit 5 mots en anglais ?) et me demande mon adresse email. C'est une erreur, il s'en rend compte lui-même, et change vite sa phrase en "je vais plutôt vous donner mon email".
Il nous lache deux adresses dont une que je pense assez explicite (marieauxmainsdor), vous allez comprendre.
Très finement il entame la conversation avec ma soeur, et là aussi il sait exactement où il veut arriver. Il met plus ou moins 1 minute avant de lui demander où l'on habite. Ma soeur rétorque poliement "près du centre de wavre", mais il insiste avec un "où ça, précisement ?".
Ma soeur a encore le temps de rajouter "près de la gare" avant que je ne lui tape pas très discrètement la jambe histoire de lui faire comprendre ce qui se passe.
En un quart de seconde je me rend compte que ce type est plus qu'un mythomane qui a besoin de parler. C'est manifestement un gars un peu dérangé, voire un pédophile, qui veut clairement savoir où l'on habite. Je lui dit clairement qu'il n'a pas à connaître notre adresse, mais il n'est pas du genre à se laisser déconcerter par ça, et enchaine rapidement avec un "vous avez tout à fait raison" et reprend son monologue.

Manifestement déçu et maintenant mis au jour, le type se prépare à descendre au prochain arrêt.
Il nous souhaite la bonne journée et ma soeur et moi poussons un ouf de soulagement de voir qu'il ne descend pas au même endroit que nous. Imaginez qu'il nous suive jusque chez nous, qu'est-ce qu'on aurait fait ? Je n'ose même pas l'imaginer et j'en tremble encore.
La dame assise un peu devant nous se retourne et me regarde du genre "vous l'avez echappé bel", je la remercie de s'inquièter et lui fais un petit signe histoire de lui dire que ce gars était vraiment fou.

Enfin arrivé chez nous, nous tremblons ma soeur et moi. Je n'ose même pas penser à ce qui se serait passer si ma soeur avait été seule.

Ce connard nous a pourri la journée et j'espère vraiment ne jamais le recroiser.
J'ignore si je peux faire quelque chose avec les emails qu'il nous a donné, et je ne pense pas que j'ai le droit de l'accuser de quoi que ce soit.

Je suis écoeuré.

14 février 2007

Le panda passe en HD

Moi (enfin, toute la famille quoi ^^) j'ai un écran HD, et je bave, juste un peu.



"Il n'y a point de recette pour embellir la nature. Il ne s'agit que de voir"

11 février 2007

Toi y'en a connaître le kamoulox ?

On vient d'acheter le DVD de Kad et Olivier et pour fêter ça, je vous propose un peu de Kamoulox, le meilleur jeu télévisé de ces dernières années, plein de subtilités et de techniques.



"Je brûle mes mocassins et je faxe un mammouth"

9 février 2007

A la ratatouille !


Il fallait que je vous montre ça : une séquence (work in progress, comme disent nos amis d'outre-manche) du prochain film d'animation de Pixar.
Mimi tout plein, et tellement Pixar !

Clique ici (parce que je savais pas mettre la vidéo directement sur le blog :p )

"Sans imagination il ne pourrait y avoir création"

7 février 2007

Ecrire. Juste écrire.

Savoir d'où me vient cette envie soudaine d'écrire un roman me semble impossible.
Et pourtant je suis en plein dedans là.

La chose s'est produite assez bizarrement il y a 2 jours en fait.
J'étais devant mon pc, pour je ne sais quelle raison j'ai ouvert le traitement de texte, j'ai rédigé un paragraphe, j'ai tout effacé, et je suis me suis mis à écrire. Sans savoir où j'allais, ni pourquoi je le faisais.
J'ai eu l'impression de devoir écrire, que c'était nécéssaire.
L'histoire que je raconte jusqu'à présent n'a ni queue ni tête car je n'en connais pas le dénouement moi-même. Je ne sais pas vers où je vais, je me laisse simplement guider par le flux des mots qui passe par mon esprit.
Malgré tout je trouve une certaine cohérence jusqu'à présent, ça reste lisible, loin de moi l'idée de pensé que je suis en train de faire un bon truc, mais j'ai l'impression d'exorciser certaines choses et ça me soulage.
Chaques expressions que j'utilise, chaque mot, chaque attitude des personnages, tout me semble prédéfini par ce que je vis, des évènements que je connais, mes connaissances.
A vrai dire je ne sais pas où je vais m'arrêter, ni comment surtout, mais j'aime cette sensation qui vous fait prendre le clavier juste pour écrire, pour créer.
Je deviens peut-être fou... certains m'auraient sans doute dit que je ferais mieux de parler de ce que j'écris, mais il y a certaines choses qui ne se disent pas.
J'ai besoin d'écrire. Mais pas ici. Pas pour les mêmes raisons.

Je ne sais pas ce que je vais faire quand j'aurais fini. J'ai l'impression que je ne pourrais jamais montré à qui que ce soit ce que je suis en train de faire, et j'imagine balancer le tout à la poubelle. Mais n'est-ce pas là une trahison de ce vieil adage : les paroles s'envolent mais les écrits restent ?

Que faire avec ce fruit de mon imagination que je n'oserais pas dévoilé, pas à tout le monde en tout cas. Pourquoi continuer si cela ne peut être lu que par moi ?
Qu'est-ce qui me pousse à écrire ?

...

"Ecrire, c'est une façon de parler sans être interrompu"

5 février 2007

Les incompréhensions quotidiennes

La signification de certains faits quotidiens me tracasse. Oui, vraiment.
J'arrive à me prendre le chou sur pratiquement n'importe quel objet/inscription/chose/bidule, bref sur tout ce qui est observable.

Tenez par exemple, pourquoi dans les bus y a-t-il un panneau qui vous invite à présenter spontanément votre titre de transport au chauffeur, sachant que le-dit panneau n'est visible qu'une fois que vous êtes entrer dans le bus ?

Pourquoi met-on la date de péremption des canettes sur le fond de l'objet en prenant le risque qu'un distret, oubliant qu'il l'avait déjà ouverte, ne retourne par mégarde sa canette en se renversant le précieux liquide sur ses godasses... (si vous vous posiez la question, non ça ne m'est pas arriver :p ).

Pourquoi fabrique-t-on encore des tubes de dentifrice classique sur lesquels il faut s'acharner pour arriver à faire sortir les derniers ml de pâte alors qu'il existe de bien pratique tubes "renversés" dont on extrait toute la substance sans effort.

A quoi ça sert un rasoir à 6 lames ?
Pourquoi est-ce que j'aime les frites ?
Est-ce que mon prof de démographie est capable de parler plus vite afin d'éviter que l'on s'endorme ?
Comment j'ai pu rater néerlandais ?
Pourquoi je ne trouve plus rien d'intéressant à dire sur ce blog ?

Toi aussi cher lecteurs, expose tes incompréhensions. Ca me rassurera sur mon état mental ^^

"Une pensée est une idée de passage"