23 novembre 2006

Casino Royal : Ouch !

J'aime bien ce titre, de part son côté ambigü et provocateur. Ben oui quoi j'aurais juste pu écrire "Casino Royal" ça aurait eu de la gueule et vous auriez quand même lu.
Mais ce "Ouch" vous fait part d'un avis. Bon ? Mauvais ? Pas clair n'est-ce pas ? Ahahaha, c'est que j'aime ça vous faire tourner en bourrique.
Bref...


Pour commencer par le commencement je ne sais pas où ils ont été chercher cette "bête" de Daniel Craig, mais ce gars à une gueule de bad boy pas possible. Et je sais pas vous mais moi un James Bond qui me fout les jetons ça me disait pas grand chose de bon.
Et pourtant...

Si au début on a un peu de mal avec le nouveau baroudeur bodybuildé, il faut admettre que le changement d'acteur à permis de renouveller un peu le Bond qu'on connaissait avec Mister Pierce Brosnan.
Plus violent, plus froid, plus nerveux, plus provoquant, ce nouveau 007 ne laisse pas indifférent, et quand je vois les cascades du début du film je me dis que Pierce se faisait vieux quand même...

Même si au début on reste dubitatif devant Craig, il faut reconnaître qu'au fur et à mesure du film il gagne en crédibilité et en jamesbondattitude. Le smoking noeudpap' y est peut-être pour quelque chose aussi. Va savoir.

Le scénario du film quant à lui reste très vague et superficiel mais au moins pas de prise de tête. Personne n'aime se prendre la tête avec un James Bond voyons. On y découvre les premiers faits d'un nouveau promus au rang de 007 et cela suffit amplement.

Un bon film ? Sûrement. De l'action, de la romance et quelques (trop rare) répliques bien senties, il n'en faut pas beaucoup plus dans ce genre de métrage.
Un bon James Bond ? Pourquoi pas. Il manque certains petits trucs auxquels on était habitué (mais où qu'ils sont les gadgets ? Et recevoir une aussi jolie voiture pour la bousiller après 3 virages je dis non !), mais l'histoire tient la route et se laisse agréablement suivre.
A voir sans aucun doute pour les fans de l'espion au matricule 007.
"- How did he died ?
- Not well"

15 novembre 2006

Ou comment se prendre la tête.

Les travaux universitaires c'est la galère. Et je ne dis pas ça que pour faire une belle rime. Non, non. C'est vraiment un bordel pas possible surtout quand il s'agit de travaux de groupes et qu'accessoirement 2 gugus nous vire de notre groupe initial pour nous rajouter au leur sans nous contacter.
Même qu'après c'est nous qu'on se fait engueuler parce qu'on est en retard... le monde est trop injuste.

Bon sinon, il est 21h passée et une fois de plus les diables rouges ne savent pas jouer au foot. Enfin si, mais ils ne jouent bien que tout seul, dès qu'il faut faire une passe ça se complique.

En marge de celà, je crois bien qu'éliza est une vandale pas possible (je te jure, elle fait des dessins sur mes notes d'Art et civilisations ^^). Même si j'admets que le terme "mes notes" est peut-être un peu fumeux, c'est pour le principe.
Je t'adore tu sais :p

Je pense aussi bousculer le rémy bientôt, faudra que ça se fasse. Et je dois aller au cinéma en plus.

Dans les petites crises de la semaine je dois avouer que je me suis connu plus calme. J'ai eu quelques coups de sang et j'ai pas pu m'empêcher de dire ce que je pensais du cours d'anglais devant ma prof. Elle a pas l'air de l'avoir mal pris sur le moment même, mais elle m'a quand même évité durant la deuxième heure. On verra la semaine prochaine.
L'assistante du prof d'info/com a aussi eu droit à des petits réclamations sur le cours, mais c'était moins violent qu'en anglais.
A force de nous faire faire des trucs débiles ils vont me faire perdre mon flegme légendaire ces couillons. Oups...

"L'obstacle nous fait grands"

9 novembre 2006

C'était il y a un an...

... j'ouvrais ce blog pour polluer la blogosphère d'un insignifiant nouvel arrivant. Un passionné d'internet qui voulais partager intimement son intimité intime.

Pourquoi j'avais commencer l'aventure bloguesque ? Je sais plus trop.
Je sais que je voulais modestement emmerder le monde avec ma philosophie à deux balles et mes prises de têtes sur tout et n'importe quoi (mais surtout n'importe quoi).

Finalement j'ai très vite basculé sur du blablatage nombrilisto-égocentrique, avec une part un peu trop importante réservé à la vie étudiante dans ces aspects les plus sombres : les cours.
J'avoue que ça m'obscède un peu et que j'en parle trop, mais c'est que ça monopolise de mon temps ces ptites choses.

L'idée d'arrêter m'a traverser l'esprit plusieurs fois : je savais plus trop pourquoi j'écrivais toutes ces sottises, pourquoi vous les lisiez et surtout je me demandais vraiment l'enrichissement personnel que j'en retirais.
C'est vrai quoi, parfois j'me demande à quoi ça sert tout ça.

Je suppose que c'est un besoin d'écrire de temps en temps. Mais disons que je vais peut-être un peu changer de direction si le coeur m'en dit. Ecrire sur d'autres choses peut-être. Peut-être pas.

On verra.

En attendant je vous souhait un bon appétit, ou pas !

Et bonne fête aux Théodore, Dorian, Ted, Teddy, Théo, Elisabeth, Babet, Babette, Bessie, Beth, Bettina, Betty, Eliane, Elisa, Elise, Elizabeth, Elsa, Elsie, Leslie Liliane, Lilie, Lilou, Lily, Lisa, Lisbeth, Lise, Lison, Lysa, Lyse, Lysiane, Sissie, Xytilis, Xytilise
(oui, oui, on connait tous au moins 4 personnes qui s'appellent Xytilis).

Et tant qu'à faire dans le religieux voici le dicton pour demain.
"A la Saint-Léon, mets tes artichauts en monts."

1 novembre 2006

La petite baffe ciné : Children of men

Dans une société futuriste où les êtres humains ne parviennent plus à se reproduire, l'annonce de la mort de la plus jeune personne, âgée de 18 ans, met la population en émoi. Au même moment, une femme tombe enceinte - un fait qui ne s'est pas produit depuis une vingtaine d'années - et devient par la même occasion la personne la plus enviée et la plus recherchée de la Terre. Un homme est chargé de sa protection...



J'en suis encore tout retourné : quel putain de film ce Children of men. A la fois ultra-inspiré dans son scénario et ravageur dans son approche, avec prise de position sur notre vie actuelle, notre évolution, nos croyances et nos espérances.

Un film plein, sans temps mort, bourré d'allusion sur le passé et notre présent, que je vous incite à aller voir pour son aspect décoiffant et novateur.

"Quand le soleil s'éclipse on en voit la grandeur"